Le Conseil québécois du loisir

Le Conseil québécois du loisir est un regroupement national qui représente 38 organismes nationaux de loisir, lesquels rassemblent plus de 5 100 organisations locales et régionales qui sont supportées par des centaines de milliers de bénévoles.

Le Conseil québécois du loisir est reconnu et soutenu par le gouvernement du Québec

Nous remercions le gouvernement du Québec pour la reconnaissance et le soutien financier accordés au Conseil québécois du loisir par l’entremise du ministère de l’Éducation du Québec pour la réalisation de sa mission globale et pour le Programme DAFA (Diplôme d’aptitude aux fonctions d’animateur).

Le CQL remercie également le ministère de la Culture et des Communications pour le soutien financier à la réalisation d’activités découlant de la mise en oeuvre de la Politique culturelle dont la participation au réseau des agents de développement numérique culturel (ADN), la Journée nationale du loisir culturel et les formations complémentaires en loisir culturel du Programme DAFA, le Secrétariat à la condition féminine pour le projet Femmes et filles en loisir : égalité en jeu.

 

MISSION

Contribuer à l’accessibilité et au rayonnement du loisir au Québec en valorisant l’apport du milieu associatif.

VISION

Une organisation mobilisatrice qui agit de façon structurante pour le milieu du loisir dans le cadre d’un forum ouvert pour ses membres, les alliés du loisir et l’État québécois.

VALEURS

Accessibilité :  le CQL prône l’accessibilité au loisir pour tous, sans discrimination.  Pour être atteinte, cette accessibilité doit se décliner dans plusieurs dimensions : économique, socio-cultuelle, physique et temporelle.

Inclusion :  Le CQL choisit le loisir comme vecteur d'inclusion et de participation respectueuse de tous à la société québécoise. Il valorise l’ouverture et les échanges positifs dans la gouvernance de l’organisme.

Adaptabilité :  Dans une perspective de développement durable, le CQL se veut une organisation agile et apprenante capable de moduler ses ressources dont l’utilisation des nouvelles technologies afin de mieux répondre aux nouvelles réalités, aux nouveaux contextes du loisir tant au sein de l’organisation qu'à l'externe avec toutes les parties prenantes du loisir au Québec.

Collégialité :  Les décisions au sein du CQL sont prises de manière démocratique et collaborative, dans l'écoute et le respect des points de vue du plus grand nombre des parties prenantes à ses instances organisationnelles.

Cohérence :  Le CQL s'assure de la cohérence entre sa mission, vision, valeurs et ses actions, ses décisions et prises de position.

Solidarité :  Pour le CQL, tout en cultivant l’appartenance au loisir, développer la solidarité comme sentiment de responsabilité réciproque au sein d'une organisation où chacune des parties est éthiquement liée à se soutenir les unes par rapport aux autres.

Le logo du Conseil québécois du loisir

 

L’actualisation du logo du CQL reprend ses éléments significatifs :

  • La fusion de l’oiseau ainsi que la main représentent la double évocation de la liberté associée au loisir ainsi que l’aspect humain et collectif du milieu associatif.
  • Les couleurs vertes et bleues sont d’une teinte plus vivante. Le vert signifie l’espoir, le mieux-être ainsi que la jeunesse tandis que le bleu inspire la confiance et l’expérience. Le carré, lui, réfère à l’organisation du lieu collectif et solidaire.

Règlements généraux

Version révisée des règlements généraux tels que ratifiés lors de l'Assemblée générale annuelle du 10 juin 2021

 

Règlements généraux du CQL 

Planification stratégique 2019-2024

Le Conseil québécois du loisir a complété une vaste démarche de planification stratégique, accompagnée par le Centre d’éducation, de recherche, d’innovation et d’entrepreneuriat collectif (CERIDEC) - Laboratoire conseil, qui s’est déroulée au cours de l’année 2019 et qui a interpellé les membres ainsi qu’un ensemble de partenaires et d’organismes.

Les dernières étapes de consultation ont été réalisées dans le cadre de l’Assemblée générale des membres le 30 mai 2019 et lors d’une assemblée générale extraordinaire le 22 novembre de la même année, en présence de la ministre déléguée à l’Éducation et responsable de la Condition féminine, madame Isabelle Charest.

Consulter le document de la Planification stratégique 2019-2024 du CQL

Un peu d'histoire

Le Conseil québécois du loisir a adopté cette dénomination en 1995 et a été constitué en personne morale en 1998. Il a d'abord agi comme instance autonome mais au sein du Regroupement des organismes nationaux de loisir du Québec, mieux connu sous le nom de Regroupement Loisir Québec. Le Cadre d'intervention gouvernementale en matière de loisir et de sport, adopté en 1997, lui a assuré la reconnaissance et le soutien financier du gouvernement du Québec.

Le Conseil québécois du loisir fut actif au sein du Regroupement sous les appellations de Commission de concertation intersectorielle (1980), de Commission des présidents (1988), de Conseil national du loisir associatif (1991) puis de Conseil québécois du loisir. Il y assumait la représentation et la concertation des organismes nationaux de loisir ainsi que la responsabilité volet loisir de la mission de cette corporation.

On retrouve par ailleurs les origines historiques de cette confédération dans le Livre blanc sur le loisir (1979) qui incita la Fédération québécoise du plein air (1972) et la Confédération des loisirs du Québec (1969), dont les racines remontent à la Confédération otéjiste provinciale (1946), à se fondre en un seul organisme, le Regroupement Loisir Québec.

 

Un modèle exemplaire de prise en charge citoyenne

Nulle part ailleurs que dans la pratique d’activités de loisir, l'État québécois ne dispose d'un levier aussi important pour s’acquitter de sa responsabilité. Il s’agit d’un modèle de relation État-associations et de gouvernance constitué d'une mosaïque d’intervenants en loisir public et associatif, qui fonctionne en réseau, reconnaissant les spécificités et originalités propres à chacun des secteurs et des intervenants locaux, régionaux et internationaux.

Ce modèle d'intervention est démocratique et responsabilisant, en lien direct avec l'usager, très décentralisé, très efficace au plan de l'administration et des coûts, respectueux et stimulant pour les bénévoles et les travailleurs. Il est le reflet des réalités, des particularités comme des acteurs.

 

Pour en savoir plus sur l’évolution du lien entre le loisir et les pouvoirs publics, consulter ce lien 

Et pour en savoir plus sur la ligne du temps du Conseil québécois du loisir, consulter cette page :  25 ans du Conseil québécois du loisir