Sont acceptés les documents diffusés entre le 1er janvier et le 31 décembre dans une entreprise de presse québécoise.
Être journaliste
Selon la définition de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec :
Est reconnu·e comme journaliste celui ou celle qui, sans exercer en parallèle un métier ou des fonctions incompatibles avec le journalisme et sans être autrement en conflit d’intérêts avec la pratique du journalisme, a pour occupation principale, régulière et rétribuée l’exercice d’une fonction de journaliste.
Le journaliste doit travailler dans une optique d’intérêt public, pour une entreprise qui est au service des citoyens et non pas d’intérêts particuliers. Cette entreprise :
- publie un ou plusieurs journaux ou périodiques traitant de l’actualité;
- gère un poste ou un réseau de postes de radio, un ou plusieurs canaux de télévision dotés d’un service d’information ou diffusant des émissions produites dans une optique journalistique;
- gère un service d’agence de presse privée ou d’agence publique d’information dotée d’un statut autonome;
- produit une ou plusieurs émissions d’information ou sites Internet couvrant l’actualité dans une optique journalistique.
À noter : les publications d’entreprises, d’organismes privés ou publics et d’associations ne sont pas considérées comme des entreprises de presse à moins que l’entreprise, l’organisme ou l’association dote la publication d’une structure autonome et s’engage par écrit à respecter l’indépendance rédactionnelle de la publication face aux intérêts spécifiques de l’entreprise, de l’organisme ou de l’association.
Les documents doivent traiter de sujets spécifiques ou d’intérêt général se rapportant aux loisirs pratiqués au Québec ou par des Québécois. Le mot loisir excluant toute activité professionnelle. (Voir en exemple les documents primés)
Les documents peuvent être présentés en français ou en anglais.
La candidature d’un journaliste peut être soumise par le journaliste lui-même ou son rédacteur en chef, chef de service, directeur de l’information, réalisateur ou par un organisme, etc. Dans ces derniers cas, le journaliste doit obligatoirement en être informé.
Un journaliste peut soumettre jusqu’à deux (2) documents, tel que diffusé, dans plus d’une catégorie.
Les documents faisant partie d’un dossier sont considérés comme une seule oeuvre. Le terme « dossier » désigne une oeuvre journalistique sur un même sujet qu’on fait paraître dans une même édition d’une publication mais en plusieurs tranches. Ce n’est pas le suivi d’un événement.
Les séries ne sont pas acceptées comme une seule oeuvre. Vous devez choisir un ou deux textes à présenter seulement. Rappelons qu’une « série » désigne une oeuvre journalistique sur un même sujet qu’on fait paraître en plusieurs tranches, dans des éditions différentes d’une même publication. Ce n’est pas le suivi d’un événement.
La version telle que diffusée des documents audio et audiovisuels ne doit pas excéder 60 minutes.
Les documents promotionnels, publireportages, cahiers publicitaires, etc. ne sont pas acceptés.
Un document signé par plusieurs journalistes est accepté dans la mesure où on ne peut dissocier les contributions de chacun.
L’évaluation du document par le jury est conditionnelle au respect des conditions de participation.
Les membres du jury doivent attendre deux ans après la fin de leur mandat avant de pouvoir participer au Prix.
Si votre travail constitue un travail d’équipe, chaque membre de l’équipe pourra être mentionné
Les documents peuvent traiter :
- des associations de loisir et de sport amateur du réseau fédéré québécois;
- des participants, des membres et des bénévoles de ces associations;
- d’activités, d’événements ou de programmes de loisir culturel, de plein air, scientifique, socio-éducatif, sportif, touristique;
- d’équipements, de lieux, de sites et d’aménagements destinés à la pratique d’une activité ou à des fins de loisir;
- de sujets d’intérêt général se rapportant aux loisirs pratiqués au Québec ou par des Québécois.